L'oligarchie ça suffit, vive la démocratie
Hervé Kempf
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurSommes-nous en dictature ? Non. En démocratie ? Pas davantage. Les puissances d'argent ont conquis une influence démesurée, les grands médias sont contrôlés par les capitalistes, les lobbies décident des lois en coulisses, les libertés sont jour après jour entamées. Nous glissons en fait vers un régime oligarchique : la domination d'une petite classe de puissants qui imposent leurs décisions à l'ensemble des citoyens. Aujourd'hui, ce régime ne vise qu'à maintenir les privilèges des riches au mépris des urgences sociales et écologiques. Pour répondre aux défis du XXIe siècle, il faut sortir de l'oligarchie et réinventer une démocratie vivante. Car la crise écologique rebat les cartes : l'Occident doit apprendre à partager le monde avec les autres habitants de la planète. Si nous échouons à aller vers la Cité mondiale, guidés par le souci de l'équilibre écologique, les oligarques nous entraîneront dans la violence de l'autoritarisme. Au terme de ce récit documenté et très vivant, le lecteur ne verra plus la politique de la même façon. |
RésuméLe journaliste dénonce le pouvoir des riches qui se sont emparés des rouages de la démocratie. Bien que le régime semble démocratique, il ne serait en réalité qu'un simulacre, les financiers, lobbies et industriels faisant partie, ouvertement ou non, des instances de décision. Les médias, quant à eux, sont présentés comme les instruments privilégiés pour maintenir les citoyens dans la passivité. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
3 janvier 2013
Collection(s)
Points
Rayon
Éthique et politique
EAN
9782757832301
Nombre de pages
182
pages
Reliure
Broché
Dimensions
18.0
cm x
11.0
cm x
1.0
cm
Poids
114
g
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À propos de l'auteurHervé Kempf est un journaliste français que la catastrophe de Tchernobyl en 1986 a conduit à une prise de conscience écologique. Depuis, d'articles en livres et en émissions de télévision, il explique comment sont intimement mêlées crise sociale et crise écologique et comment l'individualisme fait reculer le sens du bien commun. |