La dévoration
Nicolas d' Estienne d'Orves
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurLa dévoration « Je suis chez moi dans le carnage. Mes livres sont des meurtres. Le mal est ma respiration. » L'écrivain Nicolas Sevin aime l'opéra, la littérature et le sang. Judith, son éditrice, voudrait qu'il se renouvelle, qu'il se démasque, en un mot qu'il se mette à nu. En choisissant de se replonger dans l'affaire du Japonais cannibale Morimoto, Nicolas Sevin prend le risque de se confronter à ses peurs et à ses démons : son enfance, sa relation ambiguë avec sa mère, un noir secret gardé par son père, ses parties de chasse sexuelle avec son amie de toujours. Et si les bourreaux qui le hantent étaient plus proches de lui qu'il n'ose le croire ? Au terme de sa descente en enfer, il dresse un constat sans concession : certains savent dompter l'écriture, d'autres se font dévorer par elle. Auteur du très remarqué Les fidélités successives, Nicolas d'Estienne d'Orves, nous donne, avec La dévoration, son livre le plus personnel et le plus dérangeant. |
RésuméDepuis dix ans, Nicolas Sevin publie toujours le même genre de livre, jusqu'au jour où son éditrice l'enjoint de changer de registre. Au seuil de sa quête, il découvre l'existence de Hojime Morimoto, un lointain ancêtre, qui a tué et mangé son amie. Voulant raconter son histoire, il tente de se mettre dans la tête du meurtrier, en devenant lui-même dévorateur... ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
20 août 2014
Collection(s)
Romans français
Rayon
Littérature française
EAN
9782226258281
Nombre de pages
308
pages
Reliure
Broché
Dimensions
21.0
cm x
14.0
cm x
2.5
cm
Poids
390
g
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À propos de l'auteurNicolas d'Estienne d'Orves dont le nom évoque une haute figure de la Résistance est un écrivain et critique musical français au style parfois provoquant mais toujours intéressant. |