City hall. Vol. 7

Ce que dit l'éditeur

City ¤ Hall

07

« Ce n'est pas la fin. Ce n'est même pas le commencement de la fin. Mais c'est peut-être la fin du commencement. »
Winston Churchill

Nous regardons derrière nous et que reste-t-il ?

D'un côté, les ténèbres : une plume noire, une plume blanche, des gants à tentacules, un éventail, une carte à jouer sombre, une phalange coupée, une cape vivante, une armée de mékas ou encore un générateur magnétique portatif.

De l'autre côté, la lumière : un pansement sur l'oreille, un chapeau démesuré, aucun cheveu sur la tête, un steampod, une carte à jouer claire, une paire de lunettes, des sacoches remplies d'armes, et une écharpe à carreaux.

Nous regardons devant nous et que voyons-nous ? L'inconnu.

À très très bientôt, le plus vite possible !
Guillaume

C'est avec une immense tendresse que je regarde ce que sont devenus nos personnages, avec le regard d'un père bienveillant. Ils ont traversé des épreuves que je n'aurais pas réussi à surmonter avec autant de flegme et de force. Ils ont pris des décisions qui m'ont inspiré et on fait fléchir ce scénario pour le plier à leur volonté. Il faut croire que le lot d'un personnage qu'on a voulu vraisemblable est de réclamer son droit au libre arbitre et de décider lui-même quel chemin il empruntera.

J'ai beaucoup de peine à laisser là tous nos héros, mais ils m'ont tellement apporté que je refuse de les faire souffrir plus encore. Il est temps pour eux qu'ils arrivent au bout de leur périple. Ils méritent de savoir quelle sera leur fin, pour enfin tourner la page.

Cette conclusion a été écrite le jour où City Hall a vu le jour, il y a quelques années maintenant. Il a toujours été question que les événements se déroulent de la sorte, à la virgule près.

À vous qui avez cru en nous, je ne vous dis à très bientôt, bien plus que vous ne l'imaginez.
Rémi