Peintures de guerre
Angel de la Calle
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurJean Seberg, le 11 septembre 1973 à Santiago, Debord et les Tupamaros, qui d'autre qu'Ángel de la Calle, l'auteur d'un Tina Modotti célébré sous toutes les latitudes, pouvait nous conter ce qu'ils eurent ou auraient pu avoir en commun ? Ángel de la Calle nous offre un roman-fresque, touffu et déconcertant par sa construction narrative, par son habileté à transmettre sa mémoire des vaincus de la « guerre froide » culturelle que l'empire étasunien mena contre les avant-gardes sud-américaines dans les années soixante-dix. Peintures de guerre donne à penser, continûment, et répond par l'affirmative à Barthes lorsqu'il nous interrogeait : « Ne vous est-il jamais arrivé, lisant un livre, de vous arrêter sans cesse dans votre lecture, non par désintérêt, mais au contraire par afflux d'idées, d'excitations, d'associations ? Peintures de guerre se lit, bel et bien, en levant la tête, et il se peut même que, par les temps qui courent, sa lecture aide à ne pas courber l'échine.
« Cela faisait des mois que je n'étais pas tombé sur l'une de ces oeuvres qui vous change la vie, vous la rend meilleure. »
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RésuméUn roman graphique qui met en scène, le 11 septembre 1973 à Santiago, Jean Seberg, Debord et les Tupamaros et ce qu'ils auraient pu avoir en commun. Un hommage aux vaincus de la guerre culturelle menée par les Etats-Unis à l'encontre des avant-gardes sud-américaines, dans les années 1970. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
14 avril 2018
Collection(s)
Historietas
Rayon
Albums
Contributeur(s) Cathy Fourez
(Traducteur), Raul Mora
(Traducteur) EAN
9791091837118
Nombre de pages
303
pages
Reliure
Relié
Dimensions
25.0
cm x
18.0
cm x
3.3
cm
Poids
750
g
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