Les vagabonds du rail. Comment je suis devenu socialiste
Jack London
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeur« Étendu sur le sable, je prêtais l'oreille aux conversations de ces nomades, qui me faisaient considérer comme bien mesquins mes exploits de pilleurs d'huîtres. À chacune de leurs paroles, un nouveau monde s'ouvrait devant moi, un monde d'essieux, de wagons à bagages, de policiers... Tout cela s'appelait l'aventure. Parfait ! Je tâterais, moi aussi, de cette vie-là. » En 1894, les États-Unis sont touchés par une grave crise économique. Des milliers de vagabonds vont d'une ville à l'autre, le plus souvent en prenant des trains de marchandises en marche. Alors chômeur, un peu casse-cou, Jack London (1876-1916) se lance lui aussi sur la route, surtout par envie d'aventures. Il rejoint un temps la marche des sans-emploi qui se rend a Washington pour le 1er mai ; il endure la prison, le froid, la faim. Malgré la dureté du voyage, rien n'entame sa soif de liberté. Ces mois de vagabondage, déterminants dans sa vie, feront de lui un fervent militant socialiste. Cette nouvelle édition est accompagnée d'un cahier de photographies sur les hobos et le mouvement des sans-emploi de 1894. |
RésuméDurant la crise économique de 1894, Jack London, 18 ans et sans emploi, partage sa route avec les vagabonds du rail, parcourant 20.000 kilomètres d'une Amérique ravagée par la crise. Cela le conduit à devenir un militant socialiste. Avec des photographies sur les hobos et le mouvement des sans-emploi de 1894. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
30 avril 2023
Collection(s)
Eclairages
Rayon
Essais, correspondance
Contributeur(s) EAN
9782956638681
Nombre de pages
207
pages
Reliure
Broché
Dimensions
21.0
cm x
15.0
cm x
1.4
cm
Poids
390
g
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À propos de l'auteurJack London longtemps classé à tort parmi les auteurs jeunesse pour quelques histoires d'animaux, est à la fois un exemple de l'esprit pionnier qui a présidé à la conquête de l'ouest et de réussite à l'américaine. Dans son oeuvre teintée d'utopie socialiste, la nature sauvage symbolise la pureté face à une société injuste. |