La responsabilité sociale de l'entreprise, vecteur d'un droit de la mondialisation ?
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurCet ouvrage propose à partir d'études de terrain et de monographies une analyse critique pluridisciplinaire, comparative et internationale de l'autorégulation de la globalisation de l'économie au nom de la RSE. Il défend l'idée que les Accords-cadres internationaux sont des normes établissant les règles du jeu d'une gouvernance mondiale au sein des entreprises transnationales, qu'ils sont par leur enrichissement continu l'esquisse d'un système de relations professionnelles globalisé. L'ouvrage met en évidence les failles et les limites des systèmes d'inspections privées mis en place par les entreprises transnationales. Il s'appuie sur la théorie de la capture et de la contre capture pour mettre en perspective la tendance récente à légaliser des notions et des techniques nées ou portées par la RSE. Partant de l'hypothèse d'une juridiscisation de la RSE, les auteurs démontrent que la RSE est bien le véhicule/vecteur d'un droit de la globalisation de l'économie qui se construit avec des acteurs multiples, sur des espaces encastrés, sur la base de droits et de valeurs consacrées au plan international et selon un mode de co-regulation mais aussi sans doute de co-évaluation. |
RésuméUne analyse de la mise en oeuvre de normes d'entreprises transnationales concernant la responsabilité sociale et le rôle des acteurs sociaux. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Éditeur(s) Date de parution
15 juin 2017
Rayon
Droit
Contributeur(s) Isabelle Daugareilh
(Directeur de publication) EAN
9782390131380
Nombre de pages
569
pages
Reliure
Broché
Dimensions
24.0
cm x
16.0
cm x
3.0
cm
Poids
890
g
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