Cinéma suisse muet : lumières et ombres
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurEn 1896, l'horloger genevois Casimir Sivan commence à tourner avec une caméra de son invention. En Suisse, l'intérêt pour le cinéma est très précoce, et rejoint des préoccupations patriotiques, ainsi que des arrière-pensées touristiques. Des documentaires et des actualités, nationales ou régionales, sont produits durant toute la période muette. La création d'un cinéma de fiction, plus coûteux, rencontre davantage de difficultés. Des critiques très qualifiés en débattent avec passion dans la presse, et les tentatives ne manquent pas, fondées sur la volonté d'exploiter les paysages, notamment alpins. Il est fréquemment fait appel aux collaborations extérieures, comme celles de Feyder ou d'Eisenstein. Si cette production, dont seule une partie est conservée, reste à peu près inconnue, c'est que les préjugés et l'ignorance en ont longtemps fait nier l'intérêt, voire l'existence. Mais depuis une dizaine d'années, l'Université, prenant la relève de chercheurs isolés, en a révélé la richesse, en parallèle avec la politique de préservation et de restauration entreprise par la Cinémathèque suisse. Ce livre fait le point et pose quelques jalons pour l'avenir. |
RésuméLa Suisse s'est très tôt intéressée au cinéma : documentaires et actualités patriotiques et touristiques sont produits pendant la période du cinéma muet. Il s'agit d'exploiter les paysages alpins. Il est fait appel à des collaborations extérieures, celles de Feyder et Eisenstein entre autres. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Éditeur(s) Date de parution
4 octobre 2002
Collection(s)
Médias et histoire
Rayon
Spectacle, cinéma
Contributeur(s) Rémy Pithon
(Directeur de publication), Hervé Dumont
(Préfacier) EAN
9782940146260
Nombre de pages
232
pages
Reliure
Broché
Dimensions
21.0
cm x
14.0
cm x
cm
Poids
336
g
|