CinémAction, n° 154. De l'intime dans le cinéma anglophone
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurLa notion d'intime, qui touche au secret des oeuvres et des êtres, n'est pas toujours associée au cinéma anglophone, en particulier aux productions hollywoodiennes caractérisées par une prédominance du récit peu propice aux scènes d'intimité. Cette tendance qui tient à la nature même du dispositif cinématographique et a fait son attrait dès les origines, ainsi que les contradictions entre exhibition et censure, révèlent cependant l'importance de cette question au sein de la production anglophone. Si les documentaires, les archives familiales ou les films underground paraissent relever naturellement d'un cinéma de l'intime, les oeuvres de fiction, classiques ou contemporaines, d'Hitchcock à Woody Allen en passant par Eastwood ou Aronofsky, recèlent aussi un potentiel intime, de la représentation de l'intimité des personnages à leurs relations ou des relations entre film et spectateur. |
RésuméLa notion d’intime n’est pas toujours associée au cinéma anglophone, en particulier aux productions hollywoodiennes caractérisées. Si les documentaires, les archives familiales ou les films underground paraissent relever naturellement d’un cinéma de l’intime, les oeuvres de fiction, classiques ou contemporaines, d’Hitchcock à Woody Allen recèlent elles aussi un potentiel intime. ©Electre 2025 |
Caractéristiques Éditeur(s) Date de parution
10 avril 2015
Rayon
Le cinéma
Contributeur(s) Isabelle Schmitt-Pitiot
(Directeur de publication), David Roche
(Directeur de publication) EAN
9782847065916
Nombre de pages
199
pages
Reliure
Broché
Dimensions
24.0
cm x
16.0
cm x
1.0
cm
Poids
330
g
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