Le mur de l'Atlantique d'Hitler : du sud de la France au nord de la Norvège, hier et aujourd'hui - George Forty

Le mur de l'Atlantique d'Hitler : du sud de la France au nord de la Norvège, hier et aujourd'hui

George Forty , Leo Marriott , Simon Forty

Ysec Editions | octobre 2016
28.40 €
-5% pour les titulaires de la carte avec le retrait en librairie
LIBRAIRIES PARTICIPANTES
Paris VIᵉ, Paris VIIIᵉ, Paris XVIIᵉ, Paris Vᵉ
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Voir les disponibilités en librairie
29.90 €
Disponibilité en ligne
Indisponible chez l'éditeur

Ce que dit l'éditeur

Le Mur de l'Atlantique d'Hitler

Du sud de la France au nord de la Norvège

« Qui veut tout défendre ne défend rien. » Cette célèbre maxime de Frédéric le Grand revient souvent dans les conversations sur le mur de l'Atlantique, qui est la dernière grande ligne défensive construire en Europe, si l'on excepte le Rideau de fer, plus marginal. De plus, contrairement à ces prédécesseurs immédiats, la ligne Maginot et la ligne Siegfried, il est unique par son ampleur : plus de 5 000 kilomètres de longueur, s'étendant du cap Nord en Norvège à la frontière espagnole en France, de multiples types d'ouvrages, l'emploi d'une masse de travailleurs, des millions de tonnes de béton et d'acier utilisées, et une longue durée de construction, de 1940 à 1945.

Le fait qu'il en reste tant de vestiges aujourd'hui montre clairement la façon dont il a été construit : aucune dépense n'a été épargnée, parce que toutes les ressources venaient des pays occupés. Il y avait des ouvriers payés, mais la majorité de la main- d'oeuvre était des travailleurs esclaves, prisonniers ou déportés, forcés de travailler pour les nazis et l'organisation Todt. Le but de ce mur était d'empêcher tout débarquement allié en Europe du Nord-Ouest.

Lorsque l'attaque est finalement venue, le 6 juin 1944, la vérité de la maxime de Frédéric le Grand s'est imposée : le mur n'a même pas tenu une journée. Certaines forteresses individuelles ont livré une résistance solide, mais sont finalement tombées assez vite : Cherbourg, Saint-Malo, Brest et les points d'appui de la Manche. D'autres ont tenu jusqu'à la capitulation allemande : Lorient, Saint-Nazaire, La Rochelle, Dunkerque et les îles Anglo-Normandes.

Le Mur de l'Atlantique d'Hitler examine d'abord la stratégie défensive allemande, les différents types de fortifications et de blockhaus, avant de présenter, pays par pays, la totalité des sites les plus importants, depuis la côte du sud-ouest de la France, en passant par la Bretagne, la Normandie, le Pas-de-Calais, puis la Belgique, les Pays-Bas, le Danemark et la Norvège, où les défenses les plus septentrionales ont été attaquées par l'Armée rouge fin 1944.

Le livre compte plus de 500 illustrations : photographies, cartes, diagrammes, plans, etc.

Le Mur de l'Atlantique d'Hitler compte plus de 500 illustrations, dont 60 cartes et diagrammes, des photographies aériennes prises spécialement ainsi que des images d'archives et des photographies contemporaines du mur de l'Atlantique prises du sud-ouest de la France au nord de la Norvège, en passant par la Belgique, les Pays-Bas et le Danemark.

Résumé

L'histoire du mur de l'Atlantique illustrée de photographies des années 1940 et de l'époque actuelle de la Norvège, du Danemark, des Pays-Bas, de la Belgique, de la France et des îles anglo-normandes. ©Electre 2024

Caractéristiques

Éditeur(s)
Date de parution
3 octobre 2016
Rayon
Histoire : beaux livres & grands formats
Contributeur(s)
Lucie Leprêtre (Traducteur)
EAN
9782846732529
Nombre de pages
192 pages
Reliure
Relié sous jaquette
Dimensions
31.0 cm x 22.0 cm x 2.0 cm
Poids
1132 g