Mon conservatoire côté cour
Henri Ostrowiecki
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurEncres de vie Petit garçon, Henri Ostrowiecki échappe de peu à la mort lors de la rafle du Vel' d'Hiv' le 16 juillet 1942. Après l'assassinat de ses parents à Auschwitz, son refus de l'école le conduit à devenir ajusteur. Dès son entrée dans la vie active, il entreprend ses premiers cours du soir et passe le brevet professionnel, puis s'inscrit au Conservatoire National des Arts et Métiers. Le CNAM deviendra son fidèle compagnon. C'est cet itinéraire qu'il nous dévoile. « De facto le CNAM, écrit Christophe Dejours dans sa préface, a pendant une bonne partie du XXe siècle formé une anti-élite qui a rendu d'immenses services aux différentes activités industrielles du pays. Modestes, doués d'une capacité de travail hors du commun, loyaux, endurants, c'étaient des ingénieurs de production extrêmement compétents. » Lire ce livre, c'est aussi l'occasion de méditer sur le travail et son évolution devenue avant tout gestionnaire. |
RésuméH. Ostrowiecki raconte comment il est devenu ingénieur en métallurgie diplômé du Conservatoire national des arts et métiers, en commençant par son enfance, l'assassinat de ses parents à Auschwitz, ses premiers pas dans la vie active, les cours du soir au Cnam, etc. Il dresse par là un portrait de cette institution et présente ses valeurs (rigueur, transmission des savoirs, etc.). ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
6 septembre 2016
Collection(s)
Encres de vie
Rayon
Technologie, techniques industrielles
Contributeur(s) Christophe Dejours
(Préfacier), Olivier Faron
(Préfacier) EAN
9782336308463
Nombre de pages
225
pages
Reliure
Broché
Dimensions
22.0
cm x
14.0
cm x
1.2
cm
Poids
285
g
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