Une amitié algérienne
Bernard Zimmermann
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurOran. 1961-1962. La guerre d'Algérie tire à sa fin. La ville est livrée à la tuerie absurde, à la folie, à l'autodestruction. Un peu à l'écart, un village algérien de paysans et de pécheurs apparaît comme un havre de paix. Ce n'est qu'une qu'apparence. Un jeune instituteur, Antoine Esquirol, y a été nommé. Il a cru en l'Algérie française mais, sur place, il découvre une société qui lui avait été tenue invisible jusque-là, avec sa culture, son histoire, ses contradictions propres. Il trouve un guide en la personne d'un collègue algérien, Noureddine Khaled. Celui-ci, tenaillé par la maladie, pénétré de culture française, poète, combat dans l'ombre pour la libération de son peuple. Une amitié se noue entre les deux hommes rapprochés par leur désir de justice et leur volonté commune de résister à la barbarie. Mais si la colonisation vit ses dernières heures, la page de l'Algérie indépendante reste à écrire, redoutablement blanche. La question des valeurs et de l'identité traverse les échanges entre Khaled et Esquirol et leurs interrogations sur leurs choix présents et à venir. "La dernière scène d'une pièce est souvent la plus éclairante", écrit l'auteur. |
RésuméUne amitié naît entre deux instituteurs à la fin de la guerre d'Algérie au moment où les tenants de l'Algérie française tentent d'empêcher l'inéluctable : l'indépendance de l'Algérie. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
19 mai 2011
Rayon
Romans français
EAN
9782296554566
Nombre de pages
173
pages
Reliure
Broché
Dimensions
22.0
cm x
14.0
cm x
1.0
cm
Poids
225
g
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