Etude du bon sens. La recherche de la vérité : et autres écrits de jeunesse : 1616-1631
René Descartes
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurQuand et pourquoi Descartes est-il devenu philosophe ? C'est à cette double question que le présent ouvrage entend fournir les éléments d'une réponse, en éditant des textes de Descartes qui ne nous sont parvenus qu'épars, via Baillet, Poisson, Leibniz et d'autres, mais qui témoignent tous de ses premiers projets et de ses premières entreprises philosophiques. Ces fragments d'une pensée qui se cherche encore n'en présentent pas moins une cohérence suffisante pour que s'imposent, à partir d'une décision inaugurale, les moments principaux d'une évolution. La présente édition livre ainsi au public des textes qu'elle rassemble pour la première fois et qu'elle prétend ordonner chronologiquement, de 1616 (Placard de licence en droit) à 1631 (La recherche de la vérité par la lumière naturelle). Ainsi se dessine la figure inédite d'un Descartes commençant à philosopher deux décennies avant le Discours de la méthode. Textes français, latin et néerlandais réédités, traduits, introduits et commentés. |
RésuméL'ensemble des textes philosophiques de jeunesse de Descartes, venus de sources variées et datant des deux décennies qui précèdent le Discours de la méthode. ©Electre 2025 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
29 mai 2013
Collection(s)
Epiméthée
Rayon
René Descartes
Contributeur(s) Vincent Carraud
(Editeur scientifique (ou intellectuel)), Gilles Olivo
(Editeur scientifique (ou intellectuel)), Corinna Vermeulen
(Editeur scientifique (ou intellectuel)), Vincent Carraud
(Traducteur), Gilles Olivo
(Traducteur), Corinna Vermeulen
(Traducteur) EAN
9782130516132
Nombre de pages
453
pages
Reliure
Broché
Dimensions
22.0
cm x
15.0
cm x
2.4
cm
Poids
603
g
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À propos de l'auteurRené Descartes est l'auteur de la première grande oeuvre philosophique de langue française, le Discours de la Méthode. Après une jeunesse aventureuse, la rencontre de Pierre de Bérulle le convainc de se consacrer à la philosophie. Sa réputation cause sa perte. Premier philosophe invité par un monarque, il meurt d'un refroidissement en Suède. |