Les larmes noires sur la terre
Sandrine Collette
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurLes larmes noires sur la terre Il a suffi d'une fois. Une seule mauvaise décision, partir, suivre un homme à Paris. Moe n'avait que vingt ans. Six ans après, hagarde, épuisée, avec pour unique trésor un nourrisson qui l'accroche à la vie, elle est amenée de force dans un centre d'accueil pour déshérités, surnommé « la Casse ». La Casse, c'est une ville de miséreux logés dans des carcasses de voitures brisées et posées sur cales, des rues entières bordées d'automobiles embouties. Chaque épave est attribuée à une personne. Pour Moe, ce sera une 306 grise. Plus de sièges arrière, deux couvertures, et voilà leur logement, à elle et au petit. Un désespoir. Et puis, au milieu de l'effondrement de sa vie, un coup de chance, enfin : dans sa ruelle, cinq femmes s'épaulent pour affronter ensemble la noirceur du quartier. Elles vont adopter Moe et son fils. Il y a là Ada, la vieille, puissante parce qu'elle sait les secrets des herbes, Jaja la guerrière, Poule la survivante, Marie-Thé la douce, et Nini, celle qui veut quand même être jolie et danser. Leur force, c'est leur cohésion, leur entraide, leur lucidité. Si une seule y croit encore, alors il leur reste à toutes une chance de s'en sortir. Mais à quel prix ? |
RésuméSix ans après avoir quitté son île natale pour suivre un homme à Paris, Moe tente de survivre avec son nourrisson. Elle est conduite par les autorités à la Casse, une ville pour miséreux logés dans des voitures brisées. Au milieu de ce cauchemar, elle fait la connaissance de Jaja, Marie-Thé, Nini, Ada et Poule, cinq femmes qui s'épaulent pour affronter la violence du quartier. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
28 février 2017
Collection(s)
Sueurs froides
Rayon
Romans policiers
EAN
9782207135570
Nombre de pages
333
pages
Reliure
Broché
Dimensions
21.0
cm x
14.0
cm x
2.3
cm
Poids
408
g
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À propos de l'auteurSandrine Collette n'a eu besoin que d'un roman, un policier particulièrement noir, pour être reconnue comme une plume de valeur. Le deuxième a confirmé le talent d'une femme qui de son propre aveu a toujours écrit, mais a attendu d'avoir 40 ans avant de publier. |