Fétichisme et société
Jean-Marie Vincent
Versailles, Pontoise, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurQuand paraît en 1973 Fétichisme et société, les mouvements contestataires issus de Mai 68 amorcent leur déclin et la vague anti-marxiste se prépare. Constatant que le marxisme des partis de gauche devenait de plus en plus un obstacle à l'action, Jean-Marie Vincent cherche dans cet essai à réactiver le potentiel critique de Marx. L'ouvrage nous livre une pensée vivante, en train de se faire, qui au fil de ses développements superpose de multiples niveaux d'analyses capables de rendre toute la complexité du concret. À la croisée de la sociologie, de la philosophie et de la politique l'ouvrage est autant animé par le souci d'une théorie subtile que par l'urgence d'une action politique capable de transformer la réalité sociale la plus immédiate. Détenteur d'une immense culture historique et philosophique, Jean-Marie Vincent confronte Max Weber à Lukács, mobilise Adorno contre Popper et défait Heidegger à l'aide d'Herbert Marcuse. Introduisant des oeuvres alors très peu connues en France, il libère Marx des dogmes du marxisme pour que la théorie critique redevienne un outil émancipateur. |
RésuméPartant de l'ouvrage Le capital et du concept de fétichisme de la marchandise, le philosophe s'attache à refaire de la pensée critique de Marx un outil d'émancipation. Discutant les théories de Hegel, Weber, l'école de Francfort mais aussi du marxisme italien, il met en lumière la place de l'Etat, du droit, du travail et de l'idéologie dans la société capitaliste. Initialement paru en 1973. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Jean-Marie Vincent
(Auteur) Éditeur(s) Date de parution
8 mai 2020
Rayon
Philosophie contemporaine : auteurs
Contributeur(s) Alexander Neumann
(Préfacier) EAN
9791097331238
Nombre de pages
382
pages
Reliure
Broché
Dimensions
20.0
cm x
13.0
cm x
3.0
cm
Poids
418
g
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