Le géant des Florentins selon Michel-Ange
Jean Lovera
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurLe David « Goliath ne m'intéresse pas, David non plus ! Tout a déjà été dit. C'est le courage de David, ses doutes, sa peur et sa tension qui me touchent et me questionnent. Je vais le représenter avant ! Avant le combat. On comprendra, à sa façon de regarder et de bander ses muscles, que le Philistin est sa cible. Je veux que le mouvement soit perceptible. Rien de pire qu'une figure inanimée. Sans mouvement, elle est deux fois morte. Mon David sera beau par son corps et son âme pure. Je veux le sculpter à l'instant où il s'apprête à s'élancer vers Goliath, quand tout le monde s'enfuit. » Il était impensable de sculpter ce bloc, ce monstre de pierre haut de cinq mètres, refusé par tous les sculpteurs qui s'en étaient approchés, quand en 1501, à 26 ans, Michel-Ange se lance avec passion dans ce chantier fou et violent. Il raconte ici à son disciple et ami Ascanio Condivi la naissance tumultueuse d'une oeuvre hors normes, célébrée par ses contemporains comme le géant parce qu'ils y voyaient une allégorie de la république de Florence alliant le courage et l'intelligence face à la force et la tyrannie de ses ennemis. |
RésuméL'histoire du David de Michel-Ange, une sculpture de pierre haute de cinq mètres, réalisée en 1501 par l'artiste alors âgé de 26 ans. Refusée par tous les sculpteurs approchés, cette commande a une importance spéciale pour les Florentins de l'époque, qui y voyaient une allégorie de leur République, alliant courage et intelligence face à ses ennemis. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
20 janvier 2022
Collection(s)
Le roman d'un chef-d'oeuvre
Rayon
Essais sur l'art : esthétique
EAN
9791031202709
Nombre de pages
124
pages
Reliure
Broché
Dimensions
20.0
cm x
14.0
cm x
1.1
cm
Poids
160
g
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