La mort ne prendra pas le nom d'Haïti
Gabriel Okoundji
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurHaïti ! Un fragment de ton sol a soupiré, mais la mort ne s'imposera pas. Car ton ciel, même voilé, demeure, dans son espèce, ce qu'il a toujours été : un ferment qui sans cesse rend la vie à tes fils ! On le découvrira à la lecture des textes qui composent cet ouvrage, Gabriel Mwènè Okoundji, lorsqu'il . écrit en prose, ne s'écarte jamais du chant poétique, ainsi que Boniface Mongo-Mboussa le précise dans sa préface : « Comme le Nègre fondamental, Gabriel Mwènè Okoundji est celui qui dit non à l'ombre. Poète d'initiation, il est également un homme d'indignation. (...) En magnifiant Haïti, ce pays " où pour la première fois la Négritude se mit debout ", Gabriel Mwènè Okoundji ne se retranche nullement dans une tour : un Mwènè pense dans son lieu et agit avec le monde, pour reprendre l'heureuse formule de Glissant. Voilà pourquoi, à côté de son ode à Haïti, il insère (entre autres) son émerveillement pour Santoka. Sa correspondance avec le poète rebelle Jean-Paul Michel atteste déjà l'impact et la place de Gabriel Okoundji dans la poésie francophone contemporaine... » |
RésuméPlusieurs textes composent ce livre. Celui qui donne son nom au volume parle du tremblement de terre du 12 janvier 2010, c'est une ode à Haïti. G. Okoundji pense dans son lieu et agit avec le monde, selon la formule de Glissant. Il dit son émerveillement pour Santoka dans L'homme de Sabare qui rêvait de Sabare. Il y a aussi des lettres échangées avec le poète J.P. Michel et avec sa soeur Léa. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
15 janvier 2011
Collection(s)
Témoins
Rayon
Littérature généralités
Contributeur(s) Boniface Mongo-Mboussa
(Préfacier) EAN
9782911464560
Reliure
Broché
Dimensions
20.0
cm x
14.0
cm x
0.5
cm
Poids
100
g
|