![Marx et l'appropriation sociale - Henri Maler](https://couvertures.laprocure.com/procure/product/images_21/919947.webp)
Marx et l'appropriation sociale
Henri Maler , Jacques Texier , Antoine Artous
Versailles, Pontoise, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurSi autrefois la plupart des organisations du mouvement ouvrier faisaient référence à l'appropriation collective des grands moyens de production et d'échange, cet horizon a disparu. Pourtant, le déchaînement de la mondialisation capitaliste et de la marchandisation pose de façon aiguë le besoin d'une maîtrise de la société sur son développement économique. Comment une société qui n'a aucun contrôle sur une de ses activités essentielles, l'activité économique, peut-elle se dire démocratique? On ne peut toutefois ignorer le bilan du «socialisme réel». Si Marx n'a jamais prôné une telle étatisation bureaucratique, il est indispensable de revenir sur les perspectives d'appropriation collective qu'il a esquissées. Ceci, afin de restituer son projet d'ensemble, mais également ses zones d'ombre. Sa perspective qui est celle d'une appropriation sociale de la production met l'accent sur la nécessité d'une transformation radicale du pouvoir public, sur l'organisation coopérative et la remise en cause du «despotisme d'usine». «Arguments et mouvements» |
RésuméL'appropriation collective des moyens de production et d'échange reste une question importante pour les marxistes. Comment une société qui n'a aucun contrôle sur l'une de ses activités essentielles, l'économique, peut-elle se dire démocratique ? ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
16 novembre 2003
Collection(s)
Arguments-mouvements
Rayon
Politique
EAN
9782847970715
Nombre de pages
112
pages
Reliure
Broché
Dimensions
17.0
cm x
11.0
cm x
0.6
cm
Poids
100
g
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