Syndicats, grands discours et petites combines
Erwan Seznec
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurComment, en France, le nombre de permanents syndicaux a-t-il pu doubler, voire tripler en vingt ans, alors que le nombre de militants suivait une pente exactement inverse? Le régime des intermittents du spectacle aurait-il dérapé, si un syndicat n'avait pas un intérêt direct à ce qu'il dérape? Pourquoi les comptes des syndicats français ne sont-ils jamais contrôlés? Quels intérêts défendait réellement la CGT dans le conflit de la Société nationale Corse Méditerranée? Qu'obtiennent les grands groupes français, en échange des tarifs exorbitants qu'ils acceptent de payer pour des encarts publicitaires dans d'obscures revues syndicales? Pourquoi Marc Blondel, ex-patron de Force ouvrière, n'a-t-il même pas compris ce qu'on lui reprochait, quand la presse a révélé que son chauffeur était payé par la Mairie de Paris? Ex-trésorier du PS condamné en justice, Henri Emmanuelli exagérait-il, quand il disait, en 2001, qu'après les partis politiques, les juges tomberaient sur les syndicats? On n'avait jamais posé si crûment toutes ces questions taboues. Cette enquête choc révèle des écueils que les syndicats français s'évertuent à ne pas voir depuis des années. Attention danger: ils ne sont plus très loin de s'échouer. |
RésuméEnquête qui répond aux questions sur le monde syndical généralement considérées comme tabou et met à jour les obstacles demeurés invisibles aux yeux des syndicats depuis plusieurs années (le contrôle des comptes des syndicats français, multiplication du nombre de permanents syndicaux et baisse du nombre de militants, les encarts publicitaires dans les revues syndicales...). ©Electre 2025 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
11 octobre 2006
Collection(s)
Les docs
Rayon
Economie
EAN
9782012359505
Nombre de pages
201
pages
Reliure
Broché
Dimensions
21.0
cm x
14.0
cm x
1.1
cm
Poids
239
g
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