Machiavélisme et mondialisation en crise
Gérard Namer
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurMachiavélisme et mondialisation en crise Le machiavélisme est antérieur à Machiavel. C'est le savoir des règles du jeu politique que se transmet de père en fils un groupe social. Machiavel n'est au service ni des Républicains ni des Monarchistes. Son éthique cachée, c'est d'utiliser le machiavélisme contre la psychologie d'intérêt des dominants comme des dominés. Il veut fonder un État pour une nation italienne indépendante. Mannheim révise à la fin de sa vie dans Idéologie et Utopie, son évaluation première de Machiavel. Nous nous en inspirons. Les nouveaux machiavélismes naissent avec l'apparition des masses en politique sous la Révolution française ; ils coïncident avec la genèse des différentes crises de la mondialisation. Notre temps de crise de la mondialisation financière nous semble exiger un machiavélisme humaniste : reconstruire la mondialisation par un nouveau socialisme utilisant scientifiquement une solidarité de survie à partir de la société française. |
RésuméSe référant notamment à l'évaluation de Machiavel formulée par K. Mannheim dans Idéologie et utopie, G. Namer rappelle que les nouveaux machiavélismes naissent avec l'apparition des masses en politique pendant la Révolution française. En ces temps de crise de la mondialisation financière, un machiavélisme humaniste s'impose, conclut-il. ©Electre 2025 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
2 février 2009
Collection(s)
Logiques sociales
Rayon
Politique
Contributeur(s) Francis Farrugia
(Préfacier) EAN
9782296075719
Nombre de pages
95
pages
Reliure
Broché
Dimensions
22.0
cm x
14.0
cm x
0.6
cm
Poids
120
g
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