Max Jacob et mademoiselle Infrarouge
Lina Lachgar
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurAvoir dans les yeux une lumière qui fasse réapparaître le temps, revivre des ombres, des rires, des apparences, des situations, voire une passion... Nous sommes bien éloignés de la science-fiction de Wells : il suffit à la narratrice de prendre le train (à vapeur) pour aller frapper à la porte du poète qu'elle admire entre tous, et qu'elle eût aimé connaître. Les années, ni la logique des choses, ni même la mort ne résistent à la fantasia de l'imaginaire. À Saint-Benoît, Mlle Infrarouge frappe à la porte de Max Jacob, que lui ouvre sa logeuse, l'encombrante et dévouée Mme Persillard - c'est son nom, le poète ne l'a pas inventé. La fantasmagorie exige le réalisme. Incomparable connaisseuse de l'auteur du Cornet à dés et du Laboratoire central, Lina Lachgar s'autorise en poète cette «divagation», comme eût dit Mallarmé, à propos (pas toujours à propos, on ne refait pas Max !) des cerises du jardin, du péché, de la pauvreté, de la vie parisienne du poète, de Dieu et de la beauté des garçons. Des pages éclairées par l'humour, la cocasserie, voilées d'une émotion murmurée. |
RésuméD'après des indications précises et des personnages réels, la rencontre fictive entre l'auteure, sous le nom de mademoiselle Infrarouge, et Max Jacob à Saint-Benoît-sur-Loire où demeurait le poète. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
1 mars 2012
Collection(s)
Littérature
Rayon
Littérature française
EAN
9782729119706
Nombre de pages
89
pages
Reliure
Broché
Dimensions
20.0
cm x
13.0
cm x
0.9
cm
Poids
119
g
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