Du franglais au volapük ou Le perroquet aztèque
Gérard Cartier
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurL'idée de ce Placet est née (pour moi) de la vision d'une récente anthologie de la poésie française dont la couverture s'ornait d'un panneau lumineux rédigé en anglo-américain ! Et comme Gérard Cartier s'interrogeait dans une guillotine récente de la revue Secousse sur le sort fait à notre langue aujourd'hui, il a paru tout indiqué de lui proposer de poursuivre son billet d'humeur par un texte plus ample, plus documenté. « Quand elle n'est pas dénigrée pour des motifs où elle sert de bouc émissaire à d'autres combats (la lutte contre le sexisme, par exemple), elle est trahie au profit de l'anglais, qui se voit paré de toutes les vertus. » note-t-il dans ce Placet, où l'on verra, par exemple, un Commissaire (français) de la Commission européenne écrire une lettre officielle à un ministre de Gouvernement français en... anglais ! Devant ce qu'il convient bien de caractériser de moderne « servitude volontaire » , l'essai de Gérard Cartier, qui fouille les recoins de ce désamour de notre langue, est d'autant plus vivifiant qu'il traite son propos avec un humour salvateur. |
RésuméUn pamphlet dans lequel l'auteur se désole de la contamination croissante de la langue française par des termes anglais. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
22 novembre 2019
Collection(s)
Les placets invectifs
Rayon
Essais, correspondance
EAN
9782916447957
Nombre de pages
110
pages
Reliure
Broché
Dimensions
19.0
cm x
13.0
cm x
1.0
cm
Poids
140
g
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