Ch'ti bop a lula et autres rock'n'roll scories

Ce que dit l'éditeur

Tas un dessin de Gébé au plafond pour masquer un méchant trou, des photos de Keith Richards et Rory Gallagher aux murs comme dans une piaule d'ado, une bouteille de Whisky à moitié pleine (et ne lui dites pas qu'elle est à moitié vide) sur une table remplie de mots d'amour de ses potes Cavanna, Reiser, Berroyer... Il t'arrive tout droit d'une époque où Chantal Goya n'était même pas encore vierge et où la Mer Morte n'était peut-être même pas encore malade. Il est resté scotché à cette époque. Une époque où Coluche, Desproges, Renaud, Choron et Siné se tiraient dans les couilles qu'ils avaient si grosses qu'ils ne savaient pas que la relève serait si fadasse. C'est un ancien d'Hara-Kiri, le journal bête et méchant, si bien nommé qu'après cette auto-éventration plus personne n'a osé ce suicide salutaire. Personne ? Si. Ceux qui ont survécu et qui en meurent de mort lente... « D'accord mais de mort lente ». Hénin Liétard est de ceux-là.