La vie devant soi
Romain Gary
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurDans Le Figaro, Michel Tournier, juré Goncourt et provocateur, écrivait à propos d'Émile Ajar au lendemain de son prix : « D'aucuns prétendent qu'il n'exist[e] pas et que ses livres [sont] l'oeuvre d'un ordinateur. Et alors ? Si le meilleur roman de l'année a été écrit par un ordinateur, pourquoi ne le proclamerait-on pas ? » (18 novembre 1975). Émile Ajar existait bien, c'était l'un des nombreux alias de Romain Gary : La Vie devant soi n'avait rien d'un canular mais traduisait le besoin vital d'un écrivain surdoué et polymorphe de renaître masqué. Ainsi fut consacrée la confession innocente, directe et profonde de Momo. Ce jeune garçon vit dans une pension pour enfants de prostituées, tenue par Rosa, elle aussi ancienne du trottoir parisien. Le livre brosse un portrait sarcastique et coloré de la France des Trente Glorieuses, toujours zébrée par le drame de la déportation. Primé en 1956 pour Les Racines du ciel, Gary réalisait un doublé inédit dans l'histoire du prix Goncourt.
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RésuméL'histoire d'amour de Momo, un petit garçon arabe, pour une très vieille femme juive du nom de Rosa. Il l'aide à se cacher pour qu'elle ne meure pas à l'hôpital et lui tient compagnie jusqu'à la fin et même au-delà de la mort. Prix Goncourt 1975. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
3 novembre 2022
Collection(s)
Le meilleur du Prix Goncourt
Rayon
Romans français
Contributeur(s) Tahar Ben Jelloun
(Préfacier) EAN
9782810509607
Nombre de pages
184
pages
Reliure
Relié sous étui
Dimensions
21.0
cm x
13.0
cm x
1.5
cm
Poids
228
g
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À propos de l'auteurRomain Gary, romancier français d'origine polonaise, marié à l'actrice de la Nouvelle vague Jean Seberg, a reçu deux fois le prix Goncourt, une fois sous sn vrai nom et l'autre grâce à une mystification. |