Ce que dit l'éditeurRien n'est encore joué La dernière conférence Le 2 juin 2018, à l'université de Tel-Aviv, Amos Oz donne sa dernière conférence. Il est gravement malade, conscient de sa fin imminente, et ses paroles résonnent comme un testament politique. Fervent défenseur de la paix, il plaide pour la solution à deux États au Moyen-Orient, leitmotiv de son oeuvre et de ses combats. « Si nous ne créons pas ici deux États, et vite, nous nous retrouverons avec un seul. Et ce ne sera pas un État binational. Cette bête curieuse n'existe pas. Ce sera tôt ou tard un État arabe, du Jourdain à la mer. » Très tôt, Amos Oz avait souligné le danger que courrait le peuple juif s'il se retrouvait minoritaire. Clairvoyant, il fait néanmoins preuve d'un optimisme indéfectible, et exhorte le peuple israélien à prendre son destin en main car, répète-t-il en reprenant une expression de l'écrivain Yosseph Hayim Brenner, « rien n'est encore joué ». |
RésuméDans cette conférence prononcée le 3 juin 2018 à l'université de Tel-Aviv, l'écrivain israélien, gravement malade et conscient de sa fin imminente, plaide pour l'urgence de mettre en oeuvre la solution à deux Etats au Moyen Orient afin de garantir à long terme l'existence du peuple juif dans la région et de conjurer le danger d'un seul Etat au sein duquel il deviendrait minoritaire. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
12 novembre 2020
Collection(s)
Hors série connaissance
Rayon
Littérature du Moyen-Orient
Contributeur(s) Sylvie Cohen
(Traducteur) EAN
9782072888878
Nombre de pages
49
pages
Reliure
Broché
Dimensions
18.0
cm x
12.0
cm x
0.6
cm
Poids
64
g
|
À propos de l'auteurAmos Oz est l'un des plus grands écrivains israéliens vivants qui outre son oeuvre de créateur, s'engage politiquement en faveur de la paix entre Israël et ses voisins. |