Pourquoi nous n'aimons pas le sport

Ce que dit l'éditeur

Et si de tous les fléaux liés à la vie moderne comme le tabagisme, la malbouffe ou la pollution, le pire n'était pas celui que l'on croit ?

Dans les pays européens, la sédentarité touche 42 % de la population et représente le quatrième facteur de risque de mortalité : diabète, obésité, maladies cardiovasculaires et cancers lui sont associés.

Huit cents mètres à peine : voilà la distance parcourue quotidiennement par le citadin moyen ! Tous les prétextes sont bons pour ne pas bouger. Pourtant, dans son édition de 1890, le Grand Larousse définissait le sport comme « une nombreuse série d'amusements, d'exercices et de simples plaisirs ». Comment expliquer que le sport ait si mauvaise presse de nos jours ?

Cet ouvrage fait le point sur ce phénomène et propose quelques pistes pour retrouver le goût de l'activité physique et la promouvoir efficacement, dans une perspective de bien-être comme de santé publique.