Le déclin de l'Empire romain
Joël Schmidt
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurLe déclin de l'empire romain Crise climatique et démographique, crise fiduciaire et économique, crise morale et religieuse : au IIIe et IVe siècle de notre ère, Rome chavire. Mais a-t-elle chuté ? Si l'Empire des Césars s'est peu à peu délité, que dire de l'Empire d'Orient, qui a vécu jusqu'en 1453 ? Du Saint-Empire romain germanique, jusqu'en 1806 ? Ne lit-on pas encore aujourd'hui le fameux « SPQR » sur toutes les bouches d'égout de Rome ? Survivance ou cache-misère ? Certes, « Rome n'est plus dans Rome ». Une chose est sûre : la romanité et le latin ont pris le relais de l'Empire, sous l'impulsion d'un nouvel acteur aux prétentions non moins universelles : l'Eglise chrétienne. La pourpre cardinalice s'est substituée à la pourpre des sénateurs romains. Le pape, souverain pontife comme Auguste pontifex maximus, donne toujours sa bénédiction Urbi et Orbi... Comme le phénix renaît de ses cendres, Rome n'est pas morte. La Ville éternelle peut-elle jamais mourir ? |
RésuméUne étude sur la chute de l'Empire romain à partir du IVe siècle, conséquence de crises climatique, démographique, fiduciaire et économique, morale et religieuse. Le latin et la romanité ont pris le relais de l'Empire, sous l'impulsion d'un nouvel acteur : le christianisme. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
10 janvier 2018
Collection(s)
Que sais-je ?
Rayon
Rome
EAN
9782130799863
Nombre de pages
127
pages
Reliure
Broché
Dimensions
18.0
cm x
12.0
cm x
0.9
cm
Poids
100
g
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À propos de l'auteurJoël Schmidt a grandi dans un milieu d'intellectuels et rencontré dès l'enfance les grands écrivains de son temps dans le salon de ses parents. Il n'est guère étonnant qu'il soit lui même devenu romancier, essayiste et éditeur, auteur d'une oeuvre de quelques 40 titres. |