La propriété de la terre
Sarah Vanuxem
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurContre la doctrine dominante, Sarah Vanuxem démontre dans cet ouvrage que la propriété ne peut pas être conçue comme ce « pouvoir souverain d'un individu sur les choses ». Même dans le droit moderne, dans le code civil lui-même, dans ses racines romaines et médiévales, la propriété est prise dans la communauté - les choses sont enracinées dans le commun. En montrant qu'il est possible d'accorder des droits aux lieux, Sarah Vanuxem permet de sortir, de l'intérieur même de notre droit, de la conception occidentale moderne - et de faire converger nos héritages juridiques avec les perspectives écoféministes et indigènes les plus radicales. |
RésuméContre la conception dominante de la propriété comme pouvoir souverain d'un individu sur les choses, cet essai montre que, dans le droit moderne et dans ses racines romaines et médiévales, cette notion est prise dans la communauté. En supposant qu'il est possible d'accorder des droits aux lieux, il fait converger l'héritage juridique avec les perspectives écoféministes et indigènes. ©Electre 2025 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
17 mai 2018
Collection(s)
Le monde qui vient
Rayon
Droit
EAN
9782918490692
Nombre de pages
103
pages
Reliure
Broché
Dimensions
20.0
cm x
13.0
cm x
1.0
cm
Poids
160
g
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