Mes brèves de télévision : à l'heure où les réseaux sociaux étaient encore dans la rue

Ce que dit l'éditeur

Mes brèves de télévision

Comme l'écrit Gilles Marchand dans sa préface: « Il flotte comme un parfum de nostalgie médiatique en ce moment. Une douce odeur de regret, comme celle d'un bouquet à peine fané, qui laisse traîner de subtiles fragrances dans la pièce. » Dans ce livre, l'auteur raconte en effet SA télévision romande, SA téloche comme le disaient ses collaborateurs. Les anecdotes y sont savoureuses mais aussi précieuses pour l'histoire de ce média. On y perçoit l'extraordinaire chemin parcouru, que ce soit dans ses aspects technologiques mais aussi ses rapports avec la société. On y comprend également que la « toile » a profondément modifié la rapidité avec laquelle l'information se propage, au risque, parfois, de la trahir. On saisit, enfin, l'amour de l'auteur pour sa profession, les téléspectateurs et ses collègues. Ainsi retrouve-t-on les grandes figures qui accompagnèrent nos soirées passées devant le « poste ».