Mort pour la Françafrique : un espion au coeur des réseaux islamistes
Robert Dulas , Marina Ladous , Jean-Philippe Leclaire
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurLe seul mort français de la guerre en Libye : Pierre Marziali. Le 11 mai 2011, lors d'un banal contrôle d'identité, ce patron d'une société militaire privée, Secopex, est abattu à Benghazi par un milicien anti-Kadhafi au visage cagoulé. A-t-il été victime d'une bavure ? Selon Robert Dulas, associé et meilleur ami de la victime, Pierre Marziali a été froidement exécuté. Mais pourquoi et par qui ? Au nom de la raison d'État ? Dans Mort pour la Françafrique, Bob Dulas avoue pour la première fois que Secopex servait de paravent à un vaste réseau d'espionnage des groupes islamistes radicaux. Alors Pierre Marziali et lui, escortés par les Touaregs au nord du Mali, accueillis en VIP à Tripoli, snobés par les services spéciaux français mais reçus à l'Élysée, seraient-ils allés trop loin ? Complété par une contre-enquête rigoureuse à base de documents exclusifs et de témoignages inédits, le récit de Robert Dulas est digne d'un thriller de John Le Carré : sauf qu'ici, tout est vrai ! |
RésuméBenghazi, mai 2011. Pierre Marziali est abattu, officiellement victime d'une bavure policière. Son associé, Robert Dulas, affirme qu'il a été piégé pour des raisons politiques car l'homme d'affaires espionnait les groupes islamistes radicaux pour le compte d'un pays étranger. Ses missions risquées pour un service secret étranger auraient pu compromettre les intérêts économiques de la Françafrique. ©Electre 2025 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
22 octobre 2014
Collection(s)
Stock document
Rayon
Afrique : politique
EAN
9782234075658
Nombre de pages
329
pages
Reliure
Broché
Dimensions
22.0
cm x
14.0
cm x
2.6
cm
Poids
376
g
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