Beyrouth 2020 : journal d'un effondrement
Charif Majdalani
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurLe point de vue des éditeurs Au début de l'été 2020, dans un Liban ruiné par la crise économique et l'inflation, dans un Beyrouth épuisé qui se soulève pour une vraie démocratie alors que le monde est pétrifié par le coronavirus, Charif Majdalani entame la rédaction d'un journal. Il entend témoigner de cette période terrible et déroutante, la confronter à son expérience, à ses réflexions et à ses émotions - peut-être aussi espère-t-il la supporter grâce à l'écriture. Cette chronique de l'étouffement et de l'effondrement, non dénuée d'une paradoxale légèreté, se trouve percutée le 4 août par l'explosion dans le port de la ville de 2 750 tonnes de nitrate d'ammonium. Devenu témoignage du cataclysme, ce récit très sensible aux détails du quotidien dresse le portrait d'une cité stupéfiée par la violence de sa propre histoire, dont les habitants chancellent puis se redressent, jouets d'un destin aussi hasardeux que cruel. |
RésuméAu début de l'été 2020, l'auteur, professeur et écrivain, débute l'écriture d'un journal pour témoigner de la crise que traverse son pays, le Liban, où la population manifeste pour la démocratie en pleine crise du coronavirus. Le 4 août, l'explosion de 2.750 tonnes de nitrate d'ammonium dans le port de Beyrouth transforme son texte, qui décrit désormais une ville stupéfiée par la violence. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
28 septembre 2020
Rayon
Liban
EAN
9782330143695
Nombre de pages
149
pages
Reliure
Broché
Dimensions
22.0
cm x
12.0
cm x
1.3
cm
Poids
162
g
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À propos de l'auteurCharif Majdalani appartient à la communauté libanaise francophone qui y maintient l'usage de la langue et l'amour de la culture françaises. Directeur du département Lettres Françaises d'une des universités de Beyrouth, il peint dans ses romans un Liban où les différentes religions ont longtemps su vivre ensemble. |