Sur les traces de Mohamed Sèni : bâtisseur de la Mosquée de la Divinité

Ce que dit l'éditeur

Mohamed Sèni est le Bâtisseur de la Mosquée de la Divinité. Il serait le dernier messager à être élevé au rang de « Khalifatou Lâhi fil ardi, annonciateur de la fin des Temps. »

Chapitre après chapitre, le lecteur apprend bien sur son adolescence, sa vie familiale et professionnelle, que sur sa retraite spirituelle, ses enseignements, l'appel du 6 mars 1977 et le contexte dans lequel il a été lancé et son impact depuis ; sans oublier bien sûr les modalités de la construction de la Mosquée de la Divinité, une merveille, nichée sur la Baie de Ouakâm, « loin des rumeurs et des clameurs de la Cité, si grouillante et si polluée. »

Le constat est là, amer, alarmant même : « Malgré des progrès scientifiques aussi fulgurants qu'ils sont impressionnants, une angoisse existentielle perdure dans cette société de surabondance, d'accumulation, d'accaparement et d'affaissement des valeurs. La crise, qui s'installe en s'approfondissant, est d'ordre moral, avec des répercussions au niveau financier, économique, environnemental et idéologique.

« Que faire ? » Chrétiens, Juifs et musulmans s'accordent pour soutenir que « la Religion n'est pas le problème, la Religion est la solution ! »

Selon l'auteur, « Mohamed Sèni n'innove pas, il ne rénove pas non plus ». Il « invite à revisiter régulièrement le Coran et la Sunna prophétique, sans dogmatisme, afin de revivifier constamment la pensée islamique, pour l'avènement d'un monde meilleur donc plus humain, parce qu'on aura intégré la dimension spirituelle, facteur d'équilibre, de paix et de progrès. »