La Chine dans la peau

Ce que dit l'éditeur

La Chine dans la peau

À écrire sur la Chine, l'auteur cherche des raisons autres que documentaires. C'est l'originalité de ce livre, ni information, ni récit de voyage. Si le pivot est politique - réflexion sur la Révolution - celle, avortée, de 1968 en France et celle, radicale, de 1989 à Pékin - il se fonde sur plusieurs histoires mêlées, passant au-dessus du temps dont le théâtre, avant d'être une conscience, est avant tout une peau.

Cet épiderme de la narratrice ne fait qu'un avec sa chair, instrument d'investigation par lequel elle explore le Pékin d'un voyage providentiel qui révèle la pensée chinoise à travers l'Histoire, jusqu'aux années 2000 et maintenant.

Cette Chine d'aujourd'hui, peu différente de ce qu'elle fut pendant des millénaires, s'anime d'Anmi, l'étudiante occidentalisée, de son frère révolutionnaire, en nombreux portraits et dialogues d'ouvriers, de penseurs, de poètes, fidèles à leur pays, personnages et personnes.