Franz Stangl et moi

Ce que dit l'éditeur

Franz Stangl et moi

« Je n'ai plus d'espoir. » C'est par ces mots que commence la confession d'un homme qui est entré dans l'histoire par les portes de l'enfer. Membre de la Gestapo, Franz Stangl a été le commandant de Treblinka en 1942, ultime promotion avant la défaite, la fuite et l'exil au Brésil. Arrêté en 1967, il sera condamné à perpétuité.

Franz Stangl et moi le suit le dernier jour de sa vie, la veille de son décès en prison, et se penche sur l'énigme d'un homme dont la Mort est le métier.

« Comment exister par-delà l'extermination, cette ombre à tout jamais portée sur l'espoir ? Mi-romancière, mi-journaliste, Dominique Sigaud sait emmêler passé et présent pour donner à voir l'universel. Dans une cellule, en 1967, il y a Franz Stangl et elle, et aussi un violon.
Classique, klezmer, joyeux ou déchirant, léger comme le bagage d'un habitant du ghetto, il symbolise la vie, la liberté. Celle qui renaît quand un monde est détruit. »
Laure Mentzel - Le Figaro