Chaque jour vers l'enfer
Charles Doursenaud
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurChaque jour vers l'enfer Ce roman nous immerge dans la période révolutionnaire. Il illustre parfaitement cette phrase de Talleyrand : « On ne saura jamais assez jusqu'où les hommes peuvent s'égarer aux époques de décomposition sociale ». Sous la Terreur, enfiévrés par le spectacle sanglant de la guillotine, un artiste peintre, Maurice Limon, et son égérie, Laurence de Valombré, vont profiter de la déliquescence générale pour donner libre cours à leurs penchants nécrophiles en prétextant régénérer l'Art. Selon eux, l'Art ne peut naître que « dans quelque chose d'énorme, de barbare et de sauvage ». À une époque où les cabinets d'anatomie et les figures de cire sont en vogue, ils vont se fourvoyer dans une dépravation qui les conduira jusqu'au meurtre pour « manier du cadavre » et connaître la béatitude. |
RésuméEn Bretagne, Maurice Limon et Laurence de Valombré, un peintre et sa muse, profitent des temps troublés de la Terreur pour donner libre cours à leurs penchants nécrophiles, prétextant que la régénérescence de l'art ne peut avoir lieu que dans la sauvagerie et la barbarie. Leur dépravation les mène jusqu'au meurtre. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
10 juin 2020
Rayon
Romans historiques
EAN
9782812201295
Nombre de pages
280
pages
Reliure
Broché
Dimensions
23.0
cm x
14.0
cm x
2.7
cm
Poids
383
g
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