Histoire de Jean-l'ont-pris : conte languedocien du XVIIIe siècle
Jean-Baptiste Favre
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurUn seigneur de la Vaunage, en se retirant un jour à son château, entendit à deux cents pas devant lui un homme qui s'égosillait en chantant et en répétant à tout moment : La bonne aventure, ô gué ! la bonne aventure. La joie de ce chanteur lui donna la fantaisie de le rejoindre pour savoir quelle bonne aventure le faisait crier si fort en chemin. L'abbé Favre ne gardait de ses écrits, dans la vie, que la bonne humeur ; il y joignait un grand tact, dont sa correspondance avec son neveu est un témoignage constant. Il a pour ce neveu un amour filial, et il le lui prouve en des termes d'une véritable affection : c'est parfois touchant à lire. Nous espérons que cette correspondance, qui fait si bien connaître cet homme si spirituel et si bon, sera publiée en entier dans l'avenir (1). Nous en détachons un fragment plein de conseils sages et pratiques dans lesquels se révèle toute sa tendresse d'âme pour «cet aimable étourdi», Jules Troubat |
RésuméUne histoire teintée d'humour dans laquelle un rustre raconte au seigneur de la Vaunage toutes les turpitudes dont sont capables les gens de la campagne. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
19 février 2014
Collection(s)
Rediviva
Rayon
Romans français
Contributeur(s) Jules Troubat
(Traducteur), Jules Troubat
(Préfacier) EAN
9782750434007
Reliure
Broché
Dimensions
21.0
cm x
15.0
cm x
0.8
cm
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