La mue : témoignage
Karine Degunst
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurLa Mue J'ai toujours pensé que les choses étaient immuables. Ma vie était parfaite, bien ordonnée, il n'y avait rien qui dépassait. Et puis, il y a eu « ça ». « ça », c'est la mort Soudaine, imprévisible. La mort qui est la fin de tout Le néant Enfin, je croyais. Alors, j'ai fait ce que la mort m'a imposé : déconstruire, renverser, s'ouvrir, sortir des schémas, emprunter d'autres chemins. Avant « ça », je ne savais pas que les oiseaux avaient mille langues colorées. Je n'imaginais pas non plus que les arbres communiquaient entre eux et je ne soupçonnais guère que la forêt était cette entité pratiquant l'entraide et la coopération avec un langage disséminé au fil des pluies, des sécheresses, des tempêtes et des saisons avec des mots trop lents pour l'impatience de l'homme et des phrases trop pudiques dans un monde si bruyant, nous laissant croire que le Vivant pouvait s'appeler nature et que la mort était le néant. La mort n'est pas la fin de tout et fiche un heureux bordel chez les vivants.. |
RésuméS'étant jusqu'alors rattachée à des données objectives et logiques, l'auteure remet ces schémas en question à la mort de son frère. Elle s'interroge sur le sens du vivant et de la mort, refusant l'idée de néant. Elle remarque mille signes autour d'elle et discute avec les pensionnaires d'un Ephad pour savoir comment les personnes âgées envisagent le temps et la fin. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
10 juillet 2023
Collection(s)
Résonance
Rayon
Psychologie
Contributeur(s) Loan Miège
(Préfacier), Ange Lise
(Préfacier) EAN
9791038807082
Nombre de pages
150
pages
Reliure
Broché
Dimensions
22.0
cm x
14.0
cm x
1.2
cm
Poids
200
g
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