L'effraction esthétique : l'écriture de l'art dans le discours philosophique
Marc Goldschmit
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurL'effraction esthétique Après les Grecs, les questions esthétiques ont longtemps été subordonnées à la théologie. Il faut attendre le XVIIIe siècle pour voir surgir une nouvelle philosophie de l'art, sous la forme de considérations d'allures esthétiques cherchant à s'émanciper de la théologie. Ce retour du discours philosophique à l'art est contemporain de la naissance de l'esthétique, et de la crise moderne ouverte par Kant : celle de la scission entre l'être du sujet et sa pensée (sa conscience). Ce livre cherche les traces de l'effraction esthétique de l'art, dans le discours philosophique, en lisant à rebours les philosophes de la première et de la seconde modernité (Kant et Nietzsche), ceux de la dernière modernité (Benjamin, Adorno), ceux d'après la fin de la modernité (Merleau-Ponty, Foucault, Derrida), et de la postmodernité (Lyotard, Rancière). Comment ces philosophes ont-ils laissé s'inscrire, parfois à leur insu ou à leur corps défendant, l'écriture moderne de l'art, la césure, la fragmentation, le morcellement venus de l'Autre, de l'inconnu, de l'inconscient ? Comment l'effraction esthétique atteint-elle la sensibilité et la pensée, jusque dans leurs conditions de possibilité et leurs limites ? |
RésuméUne analyse de la portée et des limites de l'esthétique sur la sensibilité ainsi que sur la pensée qui s'appuie sur les textes de philosophes de la première et seconde modernité tels que Kant et Nietzsche, des penseurs de la postmodernité comme Lyotard et Rancière, en passant par Adorno, Ponty, Foucault et Derrida. ©Electre 2025 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
19 janvier 2024
Collection(s)
Philosophie en cours
Rayon
Autres [P-607-60-20]
EAN
9782380721300
Nombre de pages
200
pages
Reliure
Broché
Dimensions
21.0
cm x
15.0
cm x
1.6
cm
Poids
264
g
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