Tant qu'il restera des corps à étreindre

Ce que dit l'éditeur

Quand vient la nuit sur le monde, des histoires pour peupler les ténèbres.

Dans ce recueil, les mots prennent corps et s'étreignent en douceur. Les vers s'entrechoquent avec élégance pour évoquer des préoccupations contemporaines et intemporelles. Voyages intérieurs, insomnies et libération des injonctions à la beauté se glissent au coeur d'une écriture qui sait trouver le tendre sans nier la force. Le vers classique ondule et fait naître avec témérité des images de roses et d'oiseaux, de feux et de reines, jusqu'à s'épanouir en calligrammes. Les mots ornent la langue comme autant de perles, proposant une poésie imagée et rythmée, à savourer avec délectation ou à grignoter dans le métro. Cette plume généreuse et ludique, aux accents de contes, murmure à l'oreille de toutes les générations et offre une ode à la jeunesse à venir. S'élève alors un chant sensible qui porte la promesse de lendemains combatifs et enchantés.