Ma vie était un fusil chargé : comment les livres m'ont sauvé la vie : récit
Marie Gillet
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurMa vie était un fusil chargé « Je n'en reviens pas moi-même de ce qui s'est passé et de ce don que les livres m'ont fait de me porter sans faiblir, de prendre soin de moi et de me guérir en brisant l'enfermement dans lequel je vivais. Ils ont ma reconnaissance éternelle. » « Le Journal d'Anne Frank, Le Silence de la mer de Vercors, Souvenirs pieux de Marguerite Yourcenar, Une Année à la campagne de Sue Hubbell, Le Comte de Monte-Cristo d'Alexandre Dumas... Nous avons tous des livres-cultes, des livres-phares, des livres de chevet auxquels nous revenons régulièrement. Dans Ma vie était un fusil chargé, Marie Gillet présente un nouveau genre de livre, le « livre-chevalier ». Le chevalier sans peur et sans reproche des romans d'aventures lutte contre l'injustice, vient au secours des plus faibles et porte haut les valeurs de l'humanité. Le livre-chevalier agit de la même façon : il sauve celui qui le lit. La narratrice raconte comment grâce à cinq « livres-chevaliers », elle a pu sortir de l'emprise dans laquelle elle a longtemps vécu après avoir été élevée par un père violent. Après des décennies de lutte, elle a été délivrée de l'anéantissement dans lequel elle sombrait. L'ensemble du livre est plus qu'un hommage à la littérature, c'est la démonstration que chaque livre est vivant et de toute éternité. |
RésuméSortie de l'emprise d'un père violent, la narratrice fait une déclaration d'amour aux livres et plus particulièrement à ceux qu'elle nomme les livres-chevaliers, qui sauveraient ceux qui les lisent. ©Electre 2025 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
29 février 2024
Rayon
Nouveautés en sociologie
EAN
9782385419660
Nombre de pages
183
pages
Reliure
Broché
Dimensions
22.0
cm x
14.0
cm x
1.4
cm
Poids
223
g
|