Keiji. Vol. 16

Ce que dit l'éditeur

« Si la vie a une fin, la gloire, elle, est étérnelle ! »

Alors que Keiji et Lisa commencent à se rapprocher, voilà que celle-ci se fait enlever par des inconnus ! Ni une ni deux, Keiji prend le large pour essayer de la secourir, mais tombe sur le navire d'esclavagistes qui a fait prisonniers ses compagnons. Après avoir prouvé sa farce ainsi que sa hardiesse à la capitaine Chun-li, cheffe des pirates des côtes Ming, et gagné tout ce petit monde à sa cause, il met le cap droit sur Naha, bien décidé à sauver Lisa...

C'est bientôt la fin des facéties de Keiji Maeda, le kabuki-mono. Tenter de rendre au mieux cette période qu'on désigne sous le terme « d'Azuchi-momoyama », d'après les noms des château d'Azuchi (appartenant à Nobunaga, près du lac Biwa) et Momoyama (appartenant à Hideyoshi, près de Kyoto), dont le « style éclectique japono-occidental » était particulièrement en vogue à cette époque, et avoir eu l'occasion de rencontrer le maître, Keiichirô Ryû, restera, pour moi, un trésor à chérir. À travers les aventures de Keiji Maeda, j'ai pu poser un regard furtif sur la vie de ces éblouissants guerriers et cela m'a donné envie d'en apprendre un peu plus, de pousser toujours plus loin mes différentes recherches. Si je parviens à mettre un point final à cette série dans les meilleures conditions, je m'attaquerai volontiers par la suite à la période dite des « provinces en guerre »...