Ficelle, n° 157. Extrême limite : trois bonjours, un au-revoir : apoèmes
Paul de Brancion
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurJe sous-titre cet ouvrage Apoème. Un hommage à Henri Pichette Nucléa, pièce de théâtre atomique... Un coup de gueule... Dans « L'extrême limite », la politique de ce « toujours plus », les indispensables progrès peuvent t-ils nous gouverner ? Paul de Brancion... nous en parle. Le partage au profit de l'IA..., des services proposés-imposés de nos machines font de nous des sujets. Un oxymore, l'infini-éternel progrès existe-il ? Ma typographie des versets se ponctue par le signe ∞ ce qui implique une lecture plus attentive, plus syllabique, une lecture interprétée. Ce signe « infini » n'existe pas sans inverser nos repères ; Moebius me suggère de penser le temps se substituant à la particule de lumière. Cela est hors de mon entendement tant les déchets du progrès me perturbent et, de plus, que les épaves satellitaires ne seront pas colonisées par les coquillages marins. |
RésuméDes textes évoquant les vicissitudes du progrès technique, dont les versets sont ponctués par le signe infini afin d'encourager une lecture plus attentive. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
28 septembre 2024
Rayon
Poésie et théâtre
EAN
9791093019949
Nombre de pages
29
pages
Reliure
Broché
Dimensions
16.0
cm x
11.0
cm x
0.4
cm
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