Le maudit de la Belle Epoque
Catherine Guigon
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurMultimillionnaire, le jeune Max Lebaudy est connu du Tout-Paris de la Belle Époque pour ses frasques et ses dépenses somptuaires. Ces excentricités lui valent même le surnom mi-affectueux, mi-moqueur de «Petit Sucrier», en référence à son père, richissime propriétaire des sucreries Lebaudy. Mais l'argent lui brûle les doigts. S'il en use pour de bonnes causes, il entretient également une bande d'aigrefins qui vit sans scrupule à ses dépens. La presse mondaine, elle, surveille et commente ses moindres faits et gestes. Elle ne lui accordera aucun répit, aucune excuse. Lorsque Max est appelé sous les drapeaux pour un service militaire de trois ans, il se découvre atteint d'un mal redoutable en cette fin de siècle : la tuberculose. Commence alors, pour le jeune homme, une inexorable descente aux enfers. Catherine Guigon signe le roman vrai, tour à tour drôle et tragique, d'un «gosse de riches» mal aimé de son époque. |
RésuméMax Lebaudy, jeune héritier des sucreries qui lui vaut le surnom de Petit-Sucrier, est connu du Tout-Paris et de la presse mondaine de la Belle Epoque. En 1894, Max doit faire son service militaire mais il découvre qu'il est atteint de la tuberculose. La presse se déchaîne, notamment la célèbre Séverine, et l'accuse de vouloir acheter son exemption. La descente aux enfers commence pour lui. ©Electre 2024 |
Caractéristiques EAN
9782020634267
Nombre de pages
314
pages
Reliure
Broché
Dimensions
22.0
cm x
15.0
cm x
1.9
cm
Poids
338
g
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