La princesse de Clèves
Madame de La Fayette
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurLa Princesse de Clèves « La magnificence et la galanterie n'ont jamais paru avec tant d'éclat que dans les années du règne de Henri second », et c'est bien sur le théâtre de la brillante cour des Valois que se noue et se joue la passion de la princesse de Clèves et du duc de Nemours. Passion tacite, et qui ne s'exprime longtemps que par des signes : un portrait dérobé, la couleur d'un vêtement au tournoi, la soudaine émotion d'un visage. Passion tragique, aussi, dont la mort est la conséquence imprévue. Si La Princesse de Clèves, lors de sa parution en 1678, est le livre le plus immédiatement commenté de son époque, c'est que, sans rompre totalement avec le roman antérieur, il y introduit le souci de vraisemblance et de brièveté qui caractérise alors la nouvelle, et concilie de manière neuve narration et psychologie. Le premier des romans d'analyse ? Certainement. Mais simplement, aussi, un grand roman sans romanesque. |
RésuméC'est sur le théâtre de la brillante cour des Valois que se noue et se joue la passion de la princesse de Clèves et du duc de Nemours, passion qui ne s'exprime longtemps que par des signes et qui connaîtra une fin tragique. Paru en 1678, ce roman a suscité de nombreux commentaires, sans doute en raison de l'alliance nouvelle de la narration et de la psychologie. ©Electre 2025 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
1 juillet 2008
Collection(s)
Le Livre de poche
Rayon
Ldp/Biblio
Contributeur(s) Philippe Sellier
(Editeur scientifique (ou intellectuel)) EAN
9782253006725
Nombre de pages
253
pages
Reliure
Broché
Dimensions
18.0
cm x
11.0
cm x
1.0
cm
Poids
140
g
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