Le premier mot : au commencement : histoire d'un contresens
Pierre-Henry Salfati
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurLe premier mot « Au commencement... » Toutes les Bibles du monde font commencer « la » Bible par l'expression « Au commencement ». L'expression est devenue tellement usuelle qu'il peut sembler parfaitement incongru de préciser qu'en hébreu, le mot Bereshit, premier mot de la Torah hébraïque, n'a pour sa part jamais signifié « Au commencement ». C'est tout simplement un mot qu'aucune langue ne peut réellement traduire, on ne le trouve qu'une unique fois dans l'ensemble du livre, aucune autre référence ne permettant de circonscrire son sens littéral. A l'aide du commentaire de Rashi, célèbre rabbin et exégète du siècle, Pierre-Henry Salfati mène l'enquête. Il nous éclaire sur le contresens qui a émergé après la traduction grecque de la Tora, la Septante, et sur ses conséquences considérables dans l'imaginaire collectif occidental, et tente ici de restituer le sens du texte originel. |
RésuméLa Septante, première traduction grecque de la Torah, a donné lieu à un contresens à propos du mot Bereshit, le mot inaugural du texte sacré, sur lequel se sont appuyées les traductions suivantes. L'auteur vise à restituer le sens originel du texte et à se défaire de la mauvaise interprétation de concepts devenus familiers comme les six jours de la Genèse ou les dix noms de Dieu. ©Electre 2025 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
27 janvier 2021
Collection(s)
Essais
Rayon
Judaïsme : études
EAN
9782213709451
Nombre de pages
229
pages
Reliure
Broché
Dimensions
22.0
cm x
14.0
cm x
1.7
cm
Poids
318
g
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