La mort de Jésus
John Maxwell Coetzee
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurÀ dix ans, David est l'idole des enfants du quartier qui forment l'équipe de football. Quand le directeur de l'orphelinat local le repère, il le persuade d'intégrer son établissement et sa propre équipe au prétexte qu'il est, techniquement, orphelin, au désespoir de Simón et d'Inés, ses parents adoptifs. Mais dès qu'un mal mystérieux l'empêche de briller la balle au pied, le garçon est renvoyé chez lui. Les médecins de l'hôpital se déclarent impuissants et l'état de David s'aggrave. Ses camarades, tels des disciples, se pressent autour de son lit pour l'écouter raconter des épisodes du Don Quichotte. Très affaibli, il meurt, laissant Simón et Inés dévastés. Tous rendent hommage à cet enfant perçu comme exceptionnel tandis qu'une légende se forge et qu'un culte ambigu s'instaure. Dans cet ultime volet de la trilogie de Jésus, la prose épurée et tranchante de J. M. Coetzee accompagne le lecteur dans un récit ensorcelant et hypnotique. D'une liberté, d'une finesse et d'une exigence remarquables, ce roman poignant pousse le lecteur dans ses retranchements intellectuels et moraux, tout en exigeant qu'il tolère l'insolite et le mystère. |
RésuméA 10 ans, David est le leader d'une équipe de football du quartier. Le directeur de l'orphelinat lui propose d'intégrer son établissement et son équipe sportive. David quitte Inès et Simon, ses parents adoptifs, mais une maladie mystérieuse l'empêche de jouer. A l'hôpital, les médecins sont impuissants et ses camarades viennent le visiter jusqu'à sa mort. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
4 novembre 2021
Collection(s)
Cadre vert
Rayon
Littérature anglaise
Contributeur(s) Georges Marie Lory
(Traducteur) EAN
9782021450576
Nombre de pages
234
pages
Reliure
Broché sous jaquette
Dimensions
21.0
cm x
14.0
cm x
1.9
cm
Poids
306
g
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À propos de l'auteurJ M Coetzee, prix Nobel de littérature 2003, n'a commencé à écrire que la trentaine venue. Son oeuvre, souvent cruelle et pessimiste, s'appuie sur les réalités sud-africaines, apartheid, violence endémique, sans dénonciation politique mais inscrite dans l'universalité de la condition humaine. |