Méditations sur la vie : quatre chapitres métaphysiques
Georg Simmel
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurGeorg Simmel entreprend à la fin de sa vie quatre méditations. Il y présente sa propre philosophie. Il s'engage dans une réflexion sur la vie humaine dans son élan incessamment renouvelé, mais aussi sur ce que celui-ci dépose, ce qui l'entrave, échappe à ce flux continuel. C'est le « tournant vers l'idée », où viennent prendre forme les oeuvres de la culture : les institutions, les réalisations de la technique ou de l'art. Simmel aborde la vie dans son déploiement (en « plus-de-vie »), mais aussi dans ce qui l'excède (qui est « plus-que-vie »). Il fait place à la négativité. Penser la mort à même la vie, c'est considérer la finitude, mais aussi la condition de la culture. La mort est ce qui sépare l'individu, qui rend les mondes partagés nécessaires. Et si, étant mortels, les êtres sont individuels, quelle morale pour un individu séparé, sinon de tâcher de suivre sa propre loi ? Comment penser jusqu'au bout l'individualisme de notre modernité ? Dans une langue simple, Simmel reprend pour son temps, pour notre temps peut-être, les grandes interrogations de l'existence. |
RésuméLe philosophe allemand propose une réflexion sur la vie humaine, la mort, la morale, l'individualisme et la modernité. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
20 mars 2020
Rayon
Philosophie contemporaine : auteurs
Contributeur(s) Lambert Barthélémy
(Traducteur), Denis Thouard
(Préfacier) EAN
9782842424701
Nombre de pages
306
pages
Reliure
Broché
Dimensions
21.0
cm x
14.0
cm x
2.7
cm
Poids
376
g
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À propos de l'auteurGeorg Simmel dont l'influence sur l'Ecole de Chicago a été immense, est un pionnier de la sociologie en raison de son approche novatrice et pluridisciplinaire. Il estimait en effet qu'il fallait étudier la société dès que plusieurs individus exerçaient une action réciproque et donc les processus de socialisation. |