Le contre-transfert
Harold Frederic Searles
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurAu psychanalyste qui, jour après jour, séance après séance, s'expose à la pensée délirante, à la violence et à l'incohérence schizophréniques, les sages préceptes de «neutralité bienveillante» et d'«attention flottante» ne seront d'aucun secours, et moins encore, quand il est sans cesse pris à partie dans son être, le modèle canonique du transfert. L'analyste ne peut alors que travailler sur - et à partir de - ce que son patient induit en lui d'émotions, de haine, de jalousie, de culpabilité et d'espoir, voire de folie. Le contre-transfert, d'obstacle et d'accident qu'il est dans les analyses classiques, devient l'instrument par excellence du traitement. Sous le paradoxe des énoncés, dans l'intensité des échanges qui lient les protagonistes, sachons reconnaître la question que Searles nous pose : d'où vient ce besoin que nous avons de vouloir «guérir» nos semblables, et d'abord nos parents ? |
RésuméMalgré les sages préceptes de neutralité bienveillante, l'analyste ne peut que travailler sur ce que son patient induit en lui d'émotions, de haine, de jalousie, de culpabilité et d'espoir, et même de folie. Le contre-transfert, obstacle et accident qu'il est dans les analyses classiques, devient l'instrument par excellence du traitement. ©Electre 2025 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
21 avril 2005
Collection(s)
Folio
Rayon
Psychanalyse : auteurs
Contributeur(s) Brigitte Bost
(Traducteur) EAN
9782070307128
Nombre de pages
340
pages
Reliure
Broché
Dimensions
18.0
cm x
11.0
cm x
1.5
cm
Poids
185
g
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