Dialectique négative - Theodor Wiesengrund Adorno

Dialectique négative

Theodor Wiesengrund Adorno

Payot | septembre 2003
11.40 €
-5% pour les titulaires de la carte avec le retrait en librairie
LIBRAIRIES PARTICIPANTES
Paris VIᵉ, Paris VIIIᵉ, Paris XVIIᵉ, Paris Vᵉ
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Voir les disponibilités en librairie
12.00 €
Disponibilité en ligne
En stock
Expédié sous 48 h

Ce que dit l'éditeur

Dialectique négative est l'oeuvre maîtresse de Theodor W. Adorno et l'un des grands textes philosophiques de notre temps. «Ce qui a été pensé peut être réprimé, oublié, se perdre, écrivait-il. Mais on ne peut nier qu'il en reste quelque chose. Car le penser comporte un moment d'universalité. Ce qui a été pensé de façon pertinente doit nécessairement [...] être pensé par d'autres.» Une formule définit le geste de pensée d'Adorno: la dialectique est la conscience rigoureuse de la non-identité. Celui qui, aujourd'hui, lit Dialectique négative, fait une expérience proche de celle des Athéniens que Socrate arrêtait, il y a plus de deux mille ans, sur la place du marché, pour les arracher à leur affairement et les faire s'ouvrir à une interrogation abyssale.

Traduit de l'allemand par le groupe de traduction du Collège de philosophie

Résumé

Ce texte est l'oeuvre maîtresse de Theodor W. Adorno et l'un des grands textes philosophiques contemporains. L'idée d'Adorno est comparable à celle de la bouteille jetée à la mer : transmettre une vérité au monde sans la lui livrer, sans s'y donner complètement, sans se laisser prendre par le processus historique de récupération et d'assimilation. ©Electre 2025

Caractéristiques

Éditeur(s)
Date de parution
12 septembre 2003
Collection(s)
Petite bibliothèque Payot
Rayon
Philosophie contemporaine : auteurs
Contributeur(s)
EAN
9782228897754
Nombre de pages
533 pages
Reliure
Broché
Dimensions
17.0 cm x 11.0 cm x 2.5 cm
Poids
278 g
theodor-adorno.jpg

À propos de l'auteur

Theodor Wiesengrund Adorno

Theodor Adorno est un philosophe et musicologue allemand chassé de son pays par le nazisme, mais qui a tenu à y revenir après la guerre pour participer à la renaissance démocratique de l'Allemagne fédérale. Il a alors été l'un des piliers de l'Ecole philosophique de Francfort.