Suicide et sacrifice : le mode de destruction hypercapitaliste
Jean-Paul Galibert
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeur«L'ancien capitalisme construisait, l'hypercapitalisme, lui, détruit : il épuise, il ferme, il licencie. C'est un système suicideur, qui nous rend suicidaire. Pourquoi l'acceptons-nous ? Il nous inflige aujourd'hui sa règle d'inexistence, et nous condamne à un mode de vie suicidaire, parce qu'il nous impose un choix : préférons-nous l'hyperexploitation ou le suicide ? Une vie dépourvue d'existence, ou une mort immédiate ? L'ancien capitalisme était libéral, parce qu'à la différence de l'esclavage il laissait toujours le choix entre vivre exploité ou mourir de faim. L'hypercapitalisme, lui, est ultralibéral, parce qu'il nous laisse le choix entre une vie hyperexploitée et l'immolation hyperexploitable.»
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RésuméMettant en parallèle les statistiques montrant le nombre élevé de tentatives de suicide et le peu d'implication sur ce sujet de l'autorité publique, l'auteur établit un postulat : le système politique et social dominé par un "hypercapitalisme" y trouverait un intérêt. Cette évolution serait la conséquence logique d'un tri des existences selon leur capacité de consommation et leur rentabilité. ©Electre 2025 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
23 octobre 2012
Collection(s)
Lignes
Rayon
Éthique et politique
EAN
9782355261152
Nombre de pages
83
pages
Reliure
Broché
Dimensions
20.0
cm x
13.0
cm x
0.8
cm
Poids
115
g
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