Le soi-disant Gladio belge : aux origines du désamour d'un pays et de ses services secrets
Hervé Hasquin
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurLa découverte en 1990 de réseaux clandestins en Europe occidentale enflamma les spéculations et les fantasmes. Le « Gladio belge », à l'image de son homologue italien, était-il impliqué dans les actes de banditisme sauvage des années 80 ? Était-il vraiment chargé d'organiser dans le plus grand secret le départ de Belgique du gouvernement vers des lieux sûrs en cas d'occupation ? Avait-il participé à la « stratégie de la tension » pour favoriser l'instauration d'un régime autoritaire ? Avait-il partie liée à l'extrême droite ? L'après Gladio a accouché d'une méfiance quasi pathologique à l'égard des méthodes de renseignement. Le souci du politiquement correct, la peur d'être taxé de racisme, de xénophobie ou d'islamophobie ont bridé les capacités d'analyse et d'anticipation de nos services jusqu'il y a peu. |
RésuméEn 1990, des réseaux clandestins de l'OTAN sont découverts en Europe occidentale, notamment en Italie, où ils sont connus sous le nom de Gladio, en référence au glaive romain. La Belgique est également secouée par de nombreuses interrogations. L'auteur retrace l'histoire du réseau belge en le restituant dans le contexte de l'après Seconde Guerre mondiale. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Date de parution
5 mai 2016
Collection(s)
L'académie en poche
Rayon
Poche
EAN
9782803105519
Nombre de pages
132
pages
Reliure
Broché
Dimensions
18.0
cm x
11.0
cm x
1.0
cm
Poids
123
g
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